2 livres:DESCARTES:MÉDITATIONS MÉTAPHYSIQUES+CORRESPONDANCE

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Description

3 € les 2 livres
1/Les Méditations métaphysiques sont une œuvre philosophique de René Descartes, parue pour la première fois en latin en 1641.Celle-ci est BILINGUE. Du point de vue de l'histoire de la philosophie, elles constituent l'une des expressions les plus influentes du rationalisme classique.
Ces méditations sont une expérience philosophique. L'usage du terme « méditation », peu courant en philosophie, ne s'est pas fait par hasard : il s'agit d'une introspection, il s'agit de narrer le cheminement d'une réflexion plutôt que d'exposer un traité qui constituerait un ensemble de raisonnements déductifs. Un philosophe nous présente son expérience, il nous appartient de refaire la même, et non pas seulement de lire l'œuvre comme un simple manuel.

Le but de cette réflexion est de trouver des fondements solides à la connaissance. Qu'est-ce qui me permet de croire que je connais des vérités ? La première étape consistera à rejeter tout ce qui est douteux, afin de trouver quelque chose qui ne le soit pas. La conséquence de cela sera que tout se trouvera rejeté, à l'exception d'une chose : moi comme sujet pensant, donc existant (le fameux cogito cartésien). S'ensuit la reconstruction de la connaissance, sur la base de la certitude. On découvrira comme première certitude notre propre existence, puis celle de Dieu, puis celle des essences et enfin celle des existences.

Il s'agit donc dans cette œuvre de balayer les anciens préjugés et de repartir sur des choses certaines, pour lesquelles le doute n'est plus possible.
2/CORRESPONDANCE AVEC ELISABETH
La correspondance entre Descartes et Elisabeth porte initialement sur la question théorique de l'union de l'âme et du corps mais s'articule rapidement à la question de la guérison du corps par l'âme du fait de la « mélancolie » d'Elisabeth et des interrogations qu'elle adresse à Descartes.
Dans la correspondance entre Descartes et Élisabeth, les principes de la philosophie cartésienne rencontrent les interrogations et les objections d’une lectrice décidée à « lire – vivre où mènent les mots », animée par une confiance sans faille envers la fécondité pour l’existence de la pensée cartésienne, mais résolue à l’exigence cartésienne de parvenir à l’évidence, avant de donner son acquiescement. Nous assistons ainsi à une sorte de mise à l’épreuve des principes cartésiens, de leur cohérence intrinsèque et de leur pouvoir de fonder des règles pour la vie. La philosophie cartésienne est appréhendée dans sa dimension pratique, et reliée à la grande tradition de la sagesse grecque, pour laquelle l’enjeu de la philosophie est la qualité du vivre.

Lettres commentées dans ce volume :

LETTRE DU 21 MAI 1643

LETTRE DU 28 JUIN 1643

LETTRE DE JUILLET 1644

LETTRE DU 18 MAI 1645

LETTRE DE MAI OU JUIN 1645

LETTRE DE JUIN 1645

LETTRE DU 4 AOÛT 1645

LETTRE DU 18 AOÛT 1645

LETTRE DU 1E SEPTEMBRE 1645

LETTRE DU 15 SEPTEMBRE 1645

LETTRE DU 6 OCTOBRE 1645

LETTRE DU 3 NOVEMBRE1645

LETTRE DE JANVIER 1646

LETTRE DE SEPTEMBRE1646

LETTRE DE NOVEMBRE1646
Numéro de l'annonce: m2111759540