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Verviers patrimoine - C. Bauwens - EO 1996 – rare dédicacé
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Caractéristiques
ÉtatUtilisé
Description
Verviers et patrimoine - Catherine Bauwens - EO 1996 – rare dédicacé
« Le patrimoine civil public de la région verviétoise »
de Catherine BAUWENS
Une documentation solide, détaillée et illustrée sur les bâtiments de l’administration communale (Hodimont, Verviers, Pepinster, Dison, Ensival, Petit-Rechain, Lambermont, Heusy, Stembert), les bâtiments de l’instruction publique (athénées, écoles, lycées), les bâtiments de la culture, les bâtiments de l’assistance publique (hôpitaux, bains douches ), les bâtiments de l’institution financière, les bâtiments de la justice et du maintien de l’ordre, les bâtiments de la communication (gares, poste), le petit patrimoine civil public de Verviers.
Préface de Freddy Joris. Dédicace de l’auteur atn André Matthys en août 1996.
JE JOINS : des copies de 4 articles de presse consacrés à cet ouvrage lors de sa sortie.
(net) A Verviers, l'industrie textile a la particularité de s'être développée au coeur même de la cité. Les usines se construisent en hauteur un peu partout, le long des multiples biez de la Vesdre dans une totale anarchie. La population, qui fait plus que doubler dans la première moitié du XIXe siècle, ne sait où se loger. Bref, la cité manque de place et ses anciennes structures, complètement bouleversées, ne répondent plus du tout aux besoins de la population. Cette situation de crise va se modifier dans la seconde moitié du XIXe siècle. Des complexes d'établissements industriels s'installent en dehors de la ville ancienne en créant parfois de nouveaux quartiers structurés comme celui de Gérardchamps. Les industriels enrichis quittent la maison attenant à leur usine pour s'installer dans de "petits châteaux" situés en périphérie, loin des fumées de l'industrie. C'est donc surtout après 1850 que Verviers se façonne. Dans la cité, les préoccupations en matière d'urbanisme et d'assainissement sont à l'ordre du jour '. Cette volonté d'urbanisation de la ville, à l'exemple de celle d'EIaussman à Paris, répond à des besoins sérieux en matière d'hygiène publique, ainsi qu'à une quête du "beau" qui n'est pas exempte d'arrière-pensées. Le souci d'embellir Verviers correspond en effet au désir de voir transparaître dans le tissu urbain l'image "moderne" du progrès, l'affirmation d'une richesse et d'une prospérité conquise pacifiquement. Dans de nombreuses réunions du conseil communal, le désir de doter la prospère cité lainière d'établissements dignes de son importance est très présent. Les constructions civiles publiques vont radicalement changer l'image de la cité. Pour répondre aux importants besoins liés au développement de la population, la ville va construire énormément de bâtiments. De 1780, date de la construction de l'hôtel de ville de Verviers, à l'inauguration de la gare centrale en 1930, la quasi-totalité des établissements civils publics actuels sont édifiés. Mieux encore, en deux ans (1875-1876) pas moins de cinq écoles sont inaugurées, dont l'Athénée et le Lycée. Une autre brusque accélération s'est produite à la fin du XIXe siècle, [...]
Ministère de la région wallonne, Fondation Adolphe Hardy, Collection Portraits et profils, EO 1996, 207 pages, poids total : 445 grammes.
Abondamment illustré.
Classique état d’usage de la couverture et bel état général. Selon mes photos.
Petit prix sympa pour cette intéressante source documentaire locale.
« Le patrimoine civil public de la région verviétoise »
de Catherine BAUWENS
Une documentation solide, détaillée et illustrée sur les bâtiments de l’administration communale (Hodimont, Verviers, Pepinster, Dison, Ensival, Petit-Rechain, Lambermont, Heusy, Stembert), les bâtiments de l’instruction publique (athénées, écoles, lycées), les bâtiments de la culture, les bâtiments de l’assistance publique (hôpitaux, bains douches ), les bâtiments de l’institution financière, les bâtiments de la justice et du maintien de l’ordre, les bâtiments de la communication (gares, poste), le petit patrimoine civil public de Verviers.
Préface de Freddy Joris. Dédicace de l’auteur atn André Matthys en août 1996.
JE JOINS : des copies de 4 articles de presse consacrés à cet ouvrage lors de sa sortie.
(net) A Verviers, l'industrie textile a la particularité de s'être développée au coeur même de la cité. Les usines se construisent en hauteur un peu partout, le long des multiples biez de la Vesdre dans une totale anarchie. La population, qui fait plus que doubler dans la première moitié du XIXe siècle, ne sait où se loger. Bref, la cité manque de place et ses anciennes structures, complètement bouleversées, ne répondent plus du tout aux besoins de la population. Cette situation de crise va se modifier dans la seconde moitié du XIXe siècle. Des complexes d'établissements industriels s'installent en dehors de la ville ancienne en créant parfois de nouveaux quartiers structurés comme celui de Gérardchamps. Les industriels enrichis quittent la maison attenant à leur usine pour s'installer dans de "petits châteaux" situés en périphérie, loin des fumées de l'industrie. C'est donc surtout après 1850 que Verviers se façonne. Dans la cité, les préoccupations en matière d'urbanisme et d'assainissement sont à l'ordre du jour '. Cette volonté d'urbanisation de la ville, à l'exemple de celle d'EIaussman à Paris, répond à des besoins sérieux en matière d'hygiène publique, ainsi qu'à une quête du "beau" qui n'est pas exempte d'arrière-pensées. Le souci d'embellir Verviers correspond en effet au désir de voir transparaître dans le tissu urbain l'image "moderne" du progrès, l'affirmation d'une richesse et d'une prospérité conquise pacifiquement. Dans de nombreuses réunions du conseil communal, le désir de doter la prospère cité lainière d'établissements dignes de son importance est très présent. Les constructions civiles publiques vont radicalement changer l'image de la cité. Pour répondre aux importants besoins liés au développement de la population, la ville va construire énormément de bâtiments. De 1780, date de la construction de l'hôtel de ville de Verviers, à l'inauguration de la gare centrale en 1930, la quasi-totalité des établissements civils publics actuels sont édifiés. Mieux encore, en deux ans (1875-1876) pas moins de cinq écoles sont inaugurées, dont l'Athénée et le Lycée. Une autre brusque accélération s'est produite à la fin du XIXe siècle, [...]
Ministère de la région wallonne, Fondation Adolphe Hardy, Collection Portraits et profils, EO 1996, 207 pages, poids total : 445 grammes.
Abondamment illustré.
Classique état d’usage de la couverture et bel état général. Selon mes photos.
Petit prix sympa pour cette intéressante source documentaire locale.
Numéro de l'annonce: m2036680413
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