JERRY J.JOSWICK L. LAWRENCE A.KEATINS LA GUERRE AVEC UNE CAM

JERRY J.JOSWICK L. LAWRENCE A.KEATINS LA GUERRE AVEC UNE CAMERA FRANCE EMPIRE 1961

316 pages
Avant-propos du Lieuteneant-Colonel John D. Craig, de l'U.S. Air Force.
Traduit de l'anglais par L. J. Hess.
Couverture souple avec jaquette
Quatre jeunes américains de moins de 20 ans en uniforme débarquent, un jour de 1942, sur un aérodrome d'Égypte. Ils viennent faire la guerre. Mais ils ne sont pas comme les autres Gis. Ils n’ont pour armes que des caméras. C'est la première Unité Cinématographique de Combat. On se moque d’eux ; les escadrilles n'en veulent pas ; on les prend pour des cinéastes de Hollywood en quête de films à sensation. Mais le jour vient où JERRY JOSWICK — l'auteur — prend place à bord d'un B-24 qui va bombarder le port de Naples ; les photos qu’il en rapporte sont une révélation ; le haut commandement y découvre les erreurs tactiques de ses équipages. Le photographe embarqué va devenir l’auxiliaire indispensable i du pilote de bombardier.
Dès lors, c’esttoute une série presque ininterrompue d’actions aériennes que Joswick nous raconte, telles que les a vues l’œil de sa caméra. Il les projette pour nous sur l'écran de son livre, dans un foisonnement de faits dramatiques, de traits humains et d’humour savoureux. Le raid sur les raffineries de pétrole de Ploesti prend d'autant plus de relief que l’auteur est le seul photographe qui en soit revenu. Ensuite, les nécessités de la guerre l’amènent à participer — en première ligne — aux opérations aéroportées et au débarquement en Europe.
Jerry Joswick, le plus décoré des cinéastes de combat, est, déclare son ancien chef, le colonel John D. Craig, un homme que l'on est heureux d’avoir connu. Il est impossible d'en douter, car LA GUERRE AVEC UNE CAMERA est un récit qu’on est heureux d’avoir lu.