Salvatore Rodriquez (1957), da Volegov - Capelli al vento

Aujourd'hui encore, heureusement, Rodriquez se retrouve équipé d'un chevalet sur l'épaule et d'une boîte de peinture, se déplaçant, dans le caractère rural des leçons de ses anciennes références : Continuer à étudier la nature - dispensateur inépuisable de suggestions, de stimuli, de suggestions et , aussi, des contraintes qui empêchent l'aplatissement et l'homogénéisation de la peinture, la maladie, cette dernière qui caractérise (et mortifie) l'expression artistique contemporaine - celle de la figuration, entendons-nous - d'une grande partie des peintres "d'atelier".
Dimensions 24x30cm
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